ARCHIVES DE LA MJC/MPT
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Du 8 janvier et le 30 mars 2001 |
Philippe Drulâng présente ses "LIBERATIONS" je me suis libéré de tout trait qui pour moi représente le matériel, le visible ; montrer un trait, un contour, c'est déjà déformer la forme, la pensée. En effet, une représentation graphique ne peut être regardée que dans un sens, celui de " l'endroit ". Mes toiles n'ont ni endroit, ni envers, je peux les regarder dans le sens qui me plaît et même en diagonale. je préfère faire passer un sentiment sans passer par le biais du trait dessinant le contour de l'objet représentant le sentiment. Il en va de même pour la couleur; pourquoi le noir représenterait-il l'obscur, le deuil, la tristesse et le blanc la pureté et la joie ? Pour moi, il n'y a ni blanc, ni noir, ni tristesse, ni joie ; tout est dans le tout. Nous ne sommes jamais complètement triste ou complètement heureux. Dans une couleur donnée, une différence d'intensité (brillant, mat) donne plus de force que le contraste des couleurs (que je ne vois toujours pas). P. DRULÂNG |
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NON
Non ! Ne me regardez pas ! |
Non
! Ne m'écoutez pas ! Vos sens chavireraient. Alors, tranquillement Sans autre formalité Pensez à moi, tout simplement. |
MODESTIE
Comment cette bonne vieille terre |
Qu'elle
prend conscience qu'un jour je me lasse Et que je décide de rejoindre mes Pères, Mes Pères, les Dieux, qui, quoi que je fasse M'accompagnent comme de joyeux compères |
CONSEIL
A MES "AMIS"
N'oubliez jamais que "JE
SUIS" |
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